Once upon a time [s01e02]
The Thing You Love Most
Après une semaine assez chargée et une accumulation de retard dans le visionnage de mes séries, j’ai décidé dès mon premier temps libre de regarder Once upon a time. Le pilot n’était donc pas parfait, mais il a réussit son pari, nous faire revenir. J’ai même trouvé ce deuxième épisode meilleur, surement aussi du fait que je n’avais plus (trop) d’attentes, et j’attendrais ce dimanche ci avec impatience.
S’il y a une chose qu’il faut pour qu’une série marche, l’une des choses les plus importantes, ce sont des bons acteurs. Regardez Terra Nova, elle a bon avoir un budget considérable et un scénario original, les acteurs étant plus que moyens, la série l’est aussi. Lana Parrilla a trouvé chaussure à son pied, ce rôle d’Evil Queen lui va comme un gant ; et Jennifer Morrison qui lui donne la réplique est toute aussi bien. Ginnifer Goodwin est un peu en retrait, le prince charmant est absent, mais Jamie Dornan est un peu plus présent. Je ne connaissais pas l’acteur, mais il semble sympathique et assez doué. J’ai été contente aussi de voir Kristen Bauer ; elle est excellente dans True blood (l’un des meilleurs personnages), mais ne brille pas forcément ici. La scène qu’elle partage avec Lana Parrilla était plus que sympa, mais trop courte. Parions néanmoins qu’elle reviendra, c’est du moins ce que j’espère. En plus, Maléfique est l’une des méchantes des contes de fées qui me terrorise le plus.
Oui, les acteurs de Once upon a time sont tous très bons, mais en plus, elle n'a pas que çà: elle a aussi un bon scénario, et l’épisode est rythmé, on ne s’ennuie pas, et on n’est pas noyé dans un trop plein de scènes et d’actions. Et en plus, tout est clair ! Ce deuxième épisode était centré sur le combat entre Regina et Emma, l’une voulant faire partir l’autre. Et on ne peut que comprendre Emma, plus elle était poussée à partir, plus elle voulait rester. On se doutait bien qu’Emma ne partirait pas, mais c’était plus que sympathique. Du côté féérique, c’était assez sombre avec la mise en place de la malédiction qui nous est expliquée. On ne sait pas encore ce que Blanche neige a fait à l’Evil Queen, quelque chose en rapport avec celui qu’elle aime, mais l’Evil Queen est plutôt remontée, et va plutôt loin pour réaliser la malédiction. J’ai beaucoup aimé la symbolique avec le prénom de Henri. Du côté de Rumplestiltskin, on a connaissance d’un marché entre Regina et lui, et du coup, je pense qu’il faudra plus se méfier de ce Rumplestiltskin. Il n’est pour l’instant d’aucun côté, même si c’est grâce à lui qu’Emma revient, et je pense qu’il peut être très dangereux.
Entre toutes les références aux contes qu’il est agréable de remarquer, Once upon a time est doté d’une histoire pour l’instant passionnante et de personnages attachants et intéressants. Le pari était osé pour ABC, et j’avais très peur que la série ne fasse pas succès. Avec plus de 12 millions de téléspectateur pour ce second épisode, le pari semble gagné, et je suis le premier ravi.
Guizmo